C'est comme ça que mardi soir, j'ai regardé partir sous mon nez, le train dans lequel j'aurais dû monter... j'étais persuadée de pouvoir l'attraper. Mais le temps des gares n'est pas extensible
et mon souffle semble plus court qu'autrefois.
Ce n'est pas si grave puisque le train suivant partait 30 mn plus tard, mais quand-même... se planter comme ça, comme une "bleue" presque, ben c'était limite rageant ("quelle conne, quelle conne, quelle conne !" ah non pas limite, complètement rageant)
Je déteste avoir le nez sur la pendule, mais je vais devoir m'y faire, si je ne veux pas rentrer à pas d'heure (et aller cherchez mes gosses au commissariat).
Je déteste avoir le nez sur la pendule, mais je vais devoir m'y faire, si je ne veux pas rentrer à pas d'heure (et aller cherchez mes gosses au commissariat).
5 commentaires:
C'était ton petit bizutage de retour...
tu m'as retrouvée avec le blog-it ?
:-)
Bienvenue Maazz !
C'est marrant de retrouver sur un autre blog une illustration déjà utilisée chez soi(il y a longtemps).
En même temps c'est vrai qu'il n'y a pas meilleur illustration du temps qui coule ;-)(parfois un peu trop vite à son gout)
c'est à dire que j'ai tout de suite pensé aux montres molles quand je suis arrivée sur le quai :-D
Non il y a eu un moment où allant sur ton blog d'avant, je suis tombée directement sur celui là...
Maazz
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